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Diagonale des Fous 2017 : les meilleures photos

La Réunion, l'île intense

L'île intense.
Avec son volcan, ses cirques, ses sommets à plus de 3.000m
et son rythme de vie apaisé, la Réunion fascine.
Et sa Diagonale attire chaque année
des milliers de fous prêts à relever le défi.

Pour la 2ème fois après 2014, Peignée Verticale a couvert le Grand Raid 2017 au coeur du Team Hoka One One.

 

Île de contrastes, la Réunion est un de ces rares endroits au monde où une course de Trail peut être l’événement majeur de l’année. Pour cette 25ème édition, la Diagonale des Fous a une nouvelle fois tenu toutes ses promesses.
À travers cette sélection de clichés, nous avons souhaité partager notre vécu de l’épreuve auprès de la tête de course. Un suivi et un voyage partagés avec Athlète 2.0 qui a assuré la diffusion des images produites.
Derniers instants avant le sas

 

 Au fil des années passées ensemble, une certaine proximité s’est créée avec les athlètes de l’équipe. Sur ces images, nous avons pu passer les derniers moments avec Jim, Ludo et Julien avant qu’ils ne rentrent en scène. Des instants précieux en famille ou tout en décontraction, toujours dans la plus totale tranquillité.

 


Le départ de la Diagonale des Fous

A 22h, les 2500 fous sont lâchés.
C'est le départ d'une aventure de près de 66h pour certains.

La longue attente

 

Encore plus que sur d’autres épreuves, l’attente avant le départ est très longue à la Diagonale. Au moins une heure à tuer sous l’oeil de dizaines de journalistes à l’affût de vos moindres faits et gestes.
Certains comme Antoine Guillon maîtrisent l’exercice à merveille, à l’écart de l’agitation.

 


La nuit du volcan

Avec un départ à 22h, la Diagonale des Fous
impose à tous les coureurs de passer au moins une nuit dehors.
Un exercice souvent rendu délicat par le froid
qui sévit sur les pentes du Volcan, à plus de 2000m d'altitude.

Une première nuit sans retenue

 

La première partie du Grand Raid est roulante sur près de 50km. Les meilleurs mènent la course à un rythme effréné, presque déraisonnable si l’on considère la suite de l’épreuve. Julien Chorier sera victime d’une erreur d’itinéraire et certains leaders y laisseront des plumes…

 


Magique Mafate

Si pour les Grands Raideurs Mafate est souvent un juge paix,
il est magique en spectateur.
Vu d'en haut, le cirque revêt toute sa splendeur et invite à l'évasion.
Des points de vue magiques uniquement
possibles grâce à l'usage de l'hélicoptère.

Des paysages chargés d’histoire

 

La Réunion est construite autour de 3 cirques : Cilaos, Salazie et Mafate. Si les deux premiers sont « civilisés », Mafate ne dispose d’aucun autre accès que les chemins de randonnée. Si depuis quelques années, la liaison 3G est disponible, les coureurs empruntent des chemins centenaires créés par les esclaves ayant fui les cultures de canne à sucre.

 


Les guerriers du cirque

Du km 70 au km 120, les coureurs sont dans le cirque de Mafate.
Pour y entrer, il faut passer par le Col du Taïbit.
Pour en sortir, il faut gravir l'impitoyable Maïdo.
Entre les deux, c'est un autre monde, sans route ni échappatoire.

Jusqu’au bout de la souffrance

 

Mafate est impitoyable. Chaleur torride, montées raides, descentes cassantes dans les escaliers. Le cocktail est indigeste. Cette année, la portion reine du parcours fait de gros dégâts chez les pensionnaires du Team Hoka. Les abandons de Ludo Pommeret et Maxime Cazajous se succèdent aux alentours du km 100. L’un est blessé, l’autre paye un début de course tonitruant.
C’est à ce moment qu’apparaît en 7ème position un Guillaume Beauxis très en jambes.

 


Sans Souci ? Pas vraiment.

Au km 135, les coureurs arrivent à l'école de Sans-Souci.
Restaurés par les crêpes de bénévoles passionnés,
l'étape marque pourtant parfois la fin du voyage,
après la terrible descente de 15km du Maïdo.

Les rescapés

 

Après Mafate, il reste encore 50km de combat sur un terrain particulièrement hostile. Cela commence par une descente de 15km vers Sans-Souci où les coureurs sont attendus par des bénévoles passionnés. Grand animateur du début de course, Jim Walmsley y arrive la mine défaite et n’ira pas plus loin.
Guillaume Beauxis, lui, grapille encore une place.

 


La Redoute comme une délivrance

Du premier au dernier, fouler la piste de la Redoute est une délivrance
Son atmosphère bouillante contraste avec les dernières heures de course
courues sur des sentiers extrêmement techniques.

De haute lutte

 

Du premier au dernier, terminer le Grand Raid et obtenir son T-Shirt jaune est déjà une satisfaction. Mais, pour ceux qui visent la place et le chrono, l’arrivée au Stade de la Redoute est une vraie délivrance après plus de 24h passés sur les sentiers. Les meilleurs d’entre eux ne s’arrêtent pas plus de 10 minutes au total…
Côté Hoka One One, Guillaume Beauxis crée la surprise en fin de course en arrachant le podium dans les derniers kilomètres. Une récompense partagée en famille pour ce travailleur acharné !

 


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