Mais ce lundi, avec Lolo Dupré, on a décidé qu’il faisait bien trop beau pour ne pas aller prendre l’air et s’offrir une promenade de 20km et 2.000D+ jusqu’au refuge de Tête-Rousse, à 3170m.
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| Vue depuis le refuge de Tête Rousse |
Le parcours ? Plutôt simple : 10km de montée tout droit depuis les Houches jusqu’au refuge de Tête-Rousse.
Au programme : chemins en forêt puis alpages puis sentiers techniques et altitude pour faire péter le cardio… Le sentier a été beaucoup réhabilité dans les dernières années et ne présente quasi aucune difficulté technique (quelques chaînes et pédales dans le rocher). Il faut rester vigilant à la descente, accrocher un pied pourrait s’avérer imprudent..
La clientèle ? De l’alpiniste avide de Mont Blanc, déterminé à grimper coûte que coûte, arnaché comme un mulet, en veste GoreTex et polaire par 15°C et parfois à l’agonie dès 2500m d’altitude.
A cause de la fermeture temporaire pour travaux du Tramway du Mont-Blanc, le chemin est très fréquenté puisqu’il devient la voie classique d’accès au Mont Blanc.
Coté paysage : Vue sur toute la chaîne du Mont Blanc (notamment Aiguille Verte et Aiguille du Midi), chaîne des Fiz et Aiguilles Rouges toute la montée. A l’arrivée au refuge, c’est carrément magique avec un panorama sur la face Nord de Bionnassay toute proche et l’Aiguille du Goûter, à peine 600m plus haut.
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| Aiguille de Bionnassay – 4052m |
Un super spot pour faire du dénivelé donc, tout conservant des portions roulantes où il est possible de courir. Un bon entraînement en altitude aussi, dans un univers haute-montagne à la fin.
Au final, nous mettrons 2h09 pour les 2.000m de montée (entre 1200 et 3200m) et 1h20 pour la descente en se massacrant les cuisses sur la fin!
Une bien belle sortie que je vous conseille!
Stay tuned!
Timoth
3 réponses
Sympa! Je voulais justement y monter cet été! Je crois que je vais donc le mettre sur ma liste des sorties pour mes vacances!
Très chouette article… Un peu trop enneigé à mon goût ! Ton fan club réclame plus d'articles running, et des conseils nutrition 😉 (blague)
lorsque l' arête est vraiment sêche, il faut pousser jusqu' au gouter…..sans pour autant oublier la sécurité et toujours se gaffer dans la traversée du célèbre couloir homonyme.
alors là, on obtient un super entrainement verticalité avec un panorama époustouflant.
merci tbf pour ta compagnie, il faut que tu lèves le pied, j' arrive plus à suivre…..